Après neuf mois passés dans un bain d’allégresse et d’hormones, la période post-accouchement peut plonger dans un torrent de larmes… ou pas.
Bébé est né depuis peu et voilà que les envies de pleurer arrivent comme un effet secondaire. Alors que jusque-là tout allait bien, l’épuisement lié à la grossesse et à l’accouchement se mêle à l’inquiétude d’avoir charge d’âme. Impossible à contrôler, ce gros coup de blues vécu par 50 à 80 % des femmes vers le troisième jour est dû à une chute brutale du taux d’hormones stéroïdiennes. Fabriqués par...