S’il a souvent joué sur grand écran le dur au cœur tendre, il a réussi à ne jamais s’enfermer dans un genre en restant toujours très populaire. C’est en tant que personnalité engagée dans le combat contre l’autisme que Samuel Le Bihan s’affiche aujourd’hui.
Vous avez choisi d’écrire Un bonheur que je ne souhaite à personne sous la forme d’un roman ; pourquoi ?
Samuel Le Bihan : Par pudeur. Je n’avais pas envie de parler de moi, cela me faisait très peur. J’ai préféré raconter la bataille de Laura, la narratrice, pour son fils César, âgé de 7 ans. Alors que, en réalité, j’ai moi-même mené ce combat pour ma fille Angia, du même âge quand j’ai écrit...