Son fantôme pittoresque hante les jours et les nuits de Zorro dans la série éponyme de France 2. En parallèle, sa voix et son jeu magistraux transcendent les textes d’auteurs sur la scène des Bouffes Parisiens. Entre ces deux actualités, ce « monstre sacré » nous fait cadeau de confidences, où l’amour du verbe et du partage tisse délicatement le fil de son identité.
Après une centaine de représentations triomphales à Paris et en province l’année dernière, votre « seul en scène » Sens dessus dessous est-il aujourd’hui repris à l’identique ?André Dussollier : Même si l’on a toujours envie d’enrichir un spectacle, je n’ai pas modifié la sélection des textes. Le public a bien accueilli cette alternance d’auteurs, d’époques, de prose et de poésie, de récits comiques,...