S’il y a un domaine qui n’a pas souffert de la crise du Covid, c’est bien l’industrie du sexe. La flamme du plaisir ravivée par les confinements, elle embrase, depuis, le marché du désir et ne cesse de faire flamber les ventes (+ 153 % en deux ans) de vibromasseurs, godes, lingerie érotique, accessoires de bondage et autres objets hot dédiés à pimenter les ébats solitaires ou partagés. Partant de là, on ne s’étonnera pas de voir ce vent caliente souffler cette année jusque sur nos réveillons. Les marques spécialisées en joujoux sexuels ont décidé de nous faire patienter à leur manière jusqu’à Noël en remplaçant les traditionnels chocolats des calendriers de l’Avent par un autre genre de gourmandises. Ainsi, les consommateurs néophytes ou confirmés trouveront dans les vingt-quatre cases du célèbre coffret de quoi réveiller ou nourrir leurs fantasmes.
À vos marques
Accessibles dans les magasins spécialisés ou sur Internet, les calendriers de l’Avent coquins existent pour tous les goûts (homo, hétéro, duo, solo) et vont de 100 à 600 euros en moyenne. Du plus chic au plus soft, les différents coffrets offrent vingt-quatre façons de visiter le Kamasutra : sextoys manuels, vibrants ou connectés, cosmétique intime, accessoires BDSM, masseurs corporels, jeu de cartes érotique, lingerie affriolante, etc. À utiliser et/ou réutiliser, bien sûr, à volonté. Pour trouver la meilleure façon d’attendre l’arrivée du père Noël, ne reste plus qu’à piocher dans le catalogue des enseignes emblématiques comme Passage du Désir, Amorelie ou Dorcel.