Nul n’est à l’abri d’un élan de procrastination. Certes, remettre tout au lendemain systématiquement devant les tâches à exécuter est un handicap. Mais pas une fatalité.
Ne plus procrastiner !
« Je ne sais pas le faire, je n’ai pas envie, c’est trop long et je n’ai pas le temps… » Toutes les bonnes excuses sont à prendre quand on veut se dédouaner de reculer une échéance. Et pendant que les tâches s’accumulent, l’image qu’on a de soi périclite. À moins ? De commencer par voir clair en soi.
L’urgence : moteur ou frein ?
Il y a d’un côté l’angoisse insurmontable...