Sauf en voyage dans une zone à risque de transmission de maladies par le « Tigre » ou l’Anophèle, les produits à base de plantes suffisent souvent à éloigner les moustiques.
Les répulsifs classiques à base de DEET (recommandés pour les zones à haut risque de transmission du paludisme, de la dengue, du chikungunya ou du virus Zika) et, dans une moindre mesure, ceux contenant de l’icaridine, du Citriodiol ou de l’IR335, sont efficaces mais ils n’ont rien d’anodin. Ils peuvent provoquer des irritations de la peau et des yeux, des maux de tête et même des difficultés...