Leurs noms n’évoquent pas (ou plus) le voyage ou le glamour, mais certains aliments traditionnels n’ont pas de quoi rougir sur le plan nutritionnel.
Depuis quelques années, spiruline, açaï, goji, curcuma… font parler d’eux, en étant qualifiés de « superaliments ». Mais personne ne sait réellement ce que ce terme signifie. Quels sont ses critères d’attribution ? On finit par se demander s’il suffit que son nom ait une consonance exotique ou qu’il soit difficile à prononcer pour qu’un aliment appartienne à cette famille…
Pas de consensus officiel...