Publiée le 9 juin, une étude anglo-danoise met en évidence les effets délétères des polluants sur la fertilité masculine. Au banc des accusés : plastiques, paracétamol et alimentation.
Ils s’appellent bisphénols, dioxines polychlorées, phtalates et analgésiques. Ils se cachent dans les verres de lunettes, les produits ménagers ou de bricolage, les poissons et les viandes, les prises électriques, les fruits et les légumes, les interrupteurs de lumière, les bouteilles d’eau, le métal des boites de conserves et des canettes de soda, les rideaux de douche, les cosmétiques,...